Ces journées d'action syndicale pourront engendrer, dans certaines associations, des absences dans le chef des travailleurs.
La CESSoC rappelle que les jours de grève ou d'action sont des jours d'absence autorisés mais non rémunérés par l'employeur. Ces journées seront donc à considérer comme des journées couvertes par une indemnité de grève pour les travailleurs qui annonceront s'absenter du travail pour y participer et subiront de ce fait une perte de salaire.
Seront également couverts les travailleurs qui commencent à travailler en pauses la veille au soir (22 ou 25 novembre) ou dont le travail en pauses se termine dans la nuit (nuit du 23 au 24 ou du 26 au 27 novembre).